Justice pour nos langues !

Des droits et une justice pour les gardiens de nos langues* !

* Les gardiens d’une langue sont les membres des communautés linguistiques parlant cette langue.

Le contexte

S’informer sur le contexte dans lequel évoluent les langues autochtones en France.

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Droits et justice

Comprendre l’état des droits et de la justice linguistique en France.

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Recommandations

Consulter les recommandations internationales relatives aux droits des minorités.

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Les actions

Participer aux actions en cours en faveur d’une réelle justice pour nos langues.

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Les actualités

Retrouver les actualités en lien avec les droits linguistiques en France.

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Dernier article

Répression annoncée après l’interdiction du basque aux épreuves du baccalauréat

Ces dernières années ont été marquées par une grande instabilité pour ce qui est de l’usage des langues autochtones aux examens du brevet et du baccalauréat. L’histoire récente du basque au baccalauréat, en particulier, apparait mouvementée et révélatrice de l’état de la politique linguistique actuelle. Et d’après les dernières nouvelles en date, l’utilisation du basque par certains candidats au baccalauréat 2024 lors du grand oral risque d’être suivie de sanctions…

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Lettre ouverte

Lettre à la défenseure des droits sur son oubli des discriminations glottophobes

Philippe Blanchet, professeur de sociolinguistique et membre de la Ligue des droits de l’Homme, interpelle la défenseure des droits, Claire Hédon : « Sur votre site, l’information disponible à propos de la discrimination linguistique est incomplète (lois françaises) ou absente (traités internationaux). En conséquence, les victimes ne peuvent pas l’identifier et avoir recours à vos services. Je vous ai envoyé un courrier sur ce point le 11 mai dernier. Sans réponse, je communique cet appel par voie de presse, dans l’espoir d’être entendu. »

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Communiqué

La nouvelle ministre de l’Éducation nationale hostile à l’enseignement de la langue bretonne ?

Dans un contexte de difficultés financières de Diwan et de refus de l’État de signer une nouvelle convention avec le réseau, la précédente étant échue depuis décembre 2020, Diwan, Div Yezh Breizh, Divaskell Breizh, Kevre Breizh et Kelennomp! se disent stupéfaits du choix d’Anne Genetet comme ministre de l’Éducation nationale, alors qu’elle a voté contre la loi Molac en 2021 et qu’elle est l’une des signataires du courrier de saisine du Conseil constitutionnel qui a incité le Conseil constitutionnel à déclarer l’enseignement immersif en langue autochtone inconstitutionnel.

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Ailleurs sur la toile

Loïg Chesnais-Girard et la toponymie en breton

Dans une lettre au président de la Région Bretagne, 12 associations le prient de demander à l’État de saisir officiellement l’Unesco pour que soit inscrite la toponymie bretonne sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, de faire dresser et rendre public un bilan exhaustif de la loi 3DS sur la toponymie bretonne en vue d’un rétablissement des noms de lieux.

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Dernières brèves

21 septembre 2024

20 septembre 2024, lettre ouverte de l’Aplec contre l’éviction du catalan à France Bleu Roussillon. Malgré les enquêtes favorables à la présence du catalan dans les médias, les pratiques contraires d’autres stations de France Bleu, la loi Molac, les cahiers des charges des stations locales obligeant les médias publics à faire une place aux langues autochtones, France Bleu Roussillon a supprimé sa seule émission restante en catalan, Periscopi, sans concertation préalable. L’Aplec demande l’intégration dans ses programmes du principe du bilinguisme français-catalan et « la mise en place d’émissions d’informations (journaux quotidiens en catalan), de magazines et d’animations en catalan, ainsi que la prise en compte des milliers d’élèves qui apprennent le catalan dans ses grilles ». [Lire la lettre de l’Aplec]

19 septembre 2024, visite prévue du président de la République à la réserve des Sept Iles, en Bretagne. Les réseaux Div Yezh, Diwan, Divaskell, Kelennomp! et Kevre Breizh rappellent que la langue bretonne fait également partie du patrimoine à protéger et valoriser, que leur enseignement est de plus en plus fragilisé et que l’application de la loi du 21 mai 2021 relative à la protection patrimoniale des langues régionales et à leur promotion et celle de la Convention spécifique pour la transmission des langues de Bretagne et le développement de leur usage dans la vie quotidienne (2022-2027), signée par l’État, se font toujours attendre. La visite a été annulée, officiellement à cause des conditions météorologiques, ce qui a sérieusement été mis en doute, la météo prévoyant alors des éclaircies et des températures de 21 °C à Perroz-Gireg (Perros-Guirec). [Lire le communiqué, la publication Facebook et l’article d’Actu.fr]

18 septembre 2024, question du député Eñaki Echaniz à Mme Caroline Pascal, directrice de l’enseignement scolaire, en commission des affaires culturelles et de l’éducation sur les épreuves en langues autochtones aux examens et sur les futurs moyens. Les élèves des filières bilingues publiques ou confessionnelles, contrairement à ceux des filières immersives associatives, subissent actuellement une interdiction de composer l’épreuve de sciences en langue autochtone au diplôme national du brevet. De plus, alors que la circulaire de décembre 2021 prévoit que les élèves ayant suivi un cursus bilingue peuvent présenter au baccalauréat des épreuves en langues autochtones, aucune décision ministérielle ne précise quelles sont les épreuves concernées. Ayant dressé ce constat, le député a demandé à connaitre le calendrier et la feuille de route du ministère concernant les conditions de passage des examens en langues autochtones avant la session 2025, afin d’éviter un éventuel blocage, si tous les interlocuteurs seront associés à cette réflexion et quels seront les moyens mis en œuvre sous le nouveau mandat en cours. La directrice de l’enseignement scolaire a alors fait savoir qu’aucune avancée n’était prévue : « Sur l’enseignement des langues vivantes régionales, pour l’instant, nous sommes à réglementation constante […], donc il n’y a pas d’évolution portée en ce sens pour l’instant. Encore une fois, c’est du registre politique et du registre d’une décision de ministre que je ne pourrai pas prendre. » La directrice de l’enseignement scolaire ne semble même pas avoir envisagé la possibilité de soumettre la question au ministre après sa nomination. [Voir la vidéo]

13 septembre 2024, communiqué d’Yvan Moullec et Stéphane Roudaut, maires de Plouhinec et de Gouesnou. D’après les deux maires, si « toutes les communes de la Bretagne historique » votaient pour « l’attribution d’une subvention de 10 centimes par habitant » pour Diwan, cela apporterait 475 000 € à l’association, soit presque l’intégralité des 500 000 € qui lui manquent. Ils demandent aussi à l’État de « doter Diwan d’un vrai statut juridique et de prendre part dans le financement des écoles ». [Lire l’article de France Bleu]

11 septembre 2024, Christian Guyonvarc'h, conseiller régional, évoque d’importantes difficultés, l’amenant à suggérer d’« ouvrir des états généraux de la culture bretonne et des langues de Bretagne ». L’élu alerte sur les « situations d’urgence » que connaissent « plusieurs outils essentiels » pour la langue et la culture bretonne, comme Coop Breizh et Keit Vimp Bev pour l’édition, Diwan pour l’enseignement, le Festival de Cornouaille pour le spectacle vivant. Il souligne que les raisons ne résident pas seulement dans la crise sanitaire du Covid et l’inflation, qui a provoqué une hausse le prix du papier, mais aussi dans « l’hostilité toujours à l’œuvre d’un État central français qui refuse d’honorer […] la convention additionnelle au contrat de plan, dédiée aux langues de Bretagne, qu’il a pourtant signée au côté de la Région… et qui refuse tout autant d’envisager un transfert des compétences culture et éducation à la Région avec les moyens budgétaires correspondants ». Et il ajoute : « Des aides financières exceptionnelles sont à dégager » par les collectivités bretonnes, dont la Région Bretagne, alors même que « les collectivités ont perdu l’essentiel de leur autonomie fiscale » et sont tenues par une « dépendance aux dotations de l’État central ». [Lire la publication Facebook]

10 septembre 2024

9 septembre 2024, rassemblement contre la suppression de la classe bilingue de 6e au collège public de Plouay. La suppression a été annoncée aux parents des élèves inscrits dans cette classe le jour même, et elle se justifie d’autant moins que 20 élèves devraient rejoindre cette classe l’année prochaine. Le faible effectif de l’année en cours « est dû, en partie, à l’impossibilité financière de certains parents d’inscrire leurs enfants à Plouay faute d’accords avec les mairies des communes voisines sur le montant des participations aux frais de scolarité pour les non Plouaysiens », sachant que les éventuelles dérogations sont décidées par la commune d’accueil. [Lire l’article de Ouest-France]

8 septembre 2024, communiqué du président de la Région Bretagne, Loïg Chesnais-Girard. Le président de la Région Bretagne « demande dès aujourd’hui le respect de la Convention spécifique signée avec l’État en 2022, qui peine encore à être appliquée. » [Lire la publication Facebook]

7 septembre 2024, publication d’une lettre de 12 associations au président de la Région Bretagne. Les associations signataires prient le président de la Région Bretagne de demander à l’État de saisir officiellement l’Unesco pour que soit inscrite la toponymie bretonne sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, de faire dresser et rendre public un bilan exhaustif de la loi 3DS sur la toponymie bretonne en vue d’un rétablissement des noms de lieux. [Lire la lettre sur NHU]

6 septembre 2024

5 septembre 2024

3 septembre 2024

2 septembre 2024, rentrée scolaire

1er septembre 2024, Sciences et Avenir associe l’alcool aux Bretons sur le réseau social Facebook. La stigmatisation d’une minorité a nécessairement un impact négatif sur la culture dont elle est porteuse et sur ses langues propres. Il est donc particulièrement inapproprié pour un magazine de vulgarisation scientifique de s’adonner à ce genre d’humour. [Lire l’article]

27 août 2024, lettre de Gorka Roca Torre aux juges de Baiona (Bayonne). Dans son courrier, Gorka Roca Torre fait part aux juges de Baiona de son intention de se défendre en basque lors de sa prochaine audience, le 10 septembre 2024, dans le cadre de sa deuxième affaire en cours, suite à des inscriptions en langue basque, et il y explique sa décision. [Lire la lettre]

19 août 2024, déclaration des experts de l’Onu sur les droits des peuples autochtones kanak dans le territoire non autonome de Nouvelle-Calédonie et l’accord de Nouméa. Quatre experts de l’Onu dénoncent les méthodes répressives de la France utilisées en Nouvelle-Calédonie, ainsi que les initiatives prises par la France en vue de mettre fin à des « acquis majeurs de l’accord de Nouméa concernant la reconnaissance de l’identité et des institutions autochtones kanak, du droit coutumier et des droits fonciers coutumiers », ce qui « porte atteinte à l’intégrité de l’ensemble du processus de décolonisation ». Et la remise en cause des accords de Nouméa risque d’anéantir les avancées en matière de droit en faveur des langues kanak. [Lire le communiqué]

9 août 2024, journée internationale des peuples autochtones. L’évènement n’a été l’occasion d’aucune avancée pour la reconnaissance des droits des peuples autochtones, ni pour la reconnaissance de droits pour leurs langues. [Lire l’article]

7 août 2024. « L’UDB Trégor-Goëlo apporte un soutien total aux parents d’élèves mobilisés pour la pérennité de la filière bilingue au Collège Jacques Prévert […]. Plus largement, l’UDB demande que des moyens importants soient consentis pour l’enseignement du breton, pour sa valorisation, pour sa généralisation y compris dans le cadre d’effectifs réduits, et pour le recrutement d’enseignants. » [Lire le message Facebook de l’UDB Bro Wengamp]

17 juillet 2024, mobilisation devant le collège Jacques Prévert à Guingamp pour le maintien de la filière bilingue français-breton. Lors de la dernière semaine de classe avant les vacances, des parents d’élèves ont appris que le rectorat avait décidé de suspendre la filière bilingue français-breton du collège Jacques Prévert à Guingamp, ce qui constitue une nouvelle illustration de la lutte que mène la France contre le bilinguisme français-breton. [Lire l’article]

5 juillet 2024

30 juin 2024, arrêt de l’émission Conta Monde sur France Bleu Occitanie. La suppression de cette émission en occitan de 21 minutes réduit considérablement le temps de présence de l’occitan sur les ondes, déjà peu élevé. [Lire le texte de la pétition sur Change.org]

27 juin 2024, rassemblement pour l’ouverture d’une nouvelle classe bilingue à Pluguffan. Pénalisés par les classes surchargées, qui montrent l’urgence qu’il y a à ouvrir une 4e classe bilingue, les parents d’élèves et leurs enfants ont répondu à l’appel de l’association des parents d’élèves Div Yezh pour interpeler l’Académie, les différents courriers sur la question qui lui ont été adressés étant restés sans réponse. [Lire l’article du Télégramme]

18 juin 2024, lettre du Collectif du 1er juin au directeur général de La Poste, Philippe Wahl. La dissolution de l’Assemblée nationale ayant causé l’annulation du rendez-vous du 11 Juin 2024, le collectif demande à ce que soit associé l’Office public de la langue bretonne au processus de préparation des adressages et à ce que soit rétablies les noms de lieux bretons dans les adresses en lien avec le Conseil régional de Bretagne administrative, l’Office public de la langue bretonne, les autres collectivités intéressées sur les cinq départements bretons et les associations culturelles bretonnes. [Lire le courrier sur NHU]

17 juin 2024, question du collectif Pour que vivent nos langues aux candidates et candidats aux législatives de juin 2024. Le collectif rappelle les blocages institutionnels concernant les prénoms autochtones dûment orthographiés avec un diacritique, les règlements autorisant l’usage des langues autochtones dans les assemblées délibératives, l’enseignement : absence de prise en compte des langues autochtones lors des réformes du collège, du lycée, “choc des savoirs” et de celle annoncée de la formation des enseignants, disparition des langues autochtones aux épreuves du baccalauréat pour les disciplines non linguistiques, absence de moyens supplémentaires pour généraliser l’enseignement des langues régionales à tous les élèves d’un territoire qui le souhaitent conformément à la loi adoptée en 2021, insécurité juridique de la circulaire de l’Éducation nationale de 2021, blocage de la contractualisation de Scola Corsa et non-renouvellement des conventions avec Seaska ou Diwan. [Lire l’article de Pour que vivent nos langues]

9 juin 2024, dissolution de l’Assemblée nationale par le président de la République Emmanuel Macron. Cette dissolution fait peser de lourdes menaces sur les langues autochtones, sur l’enseignement immersif, sur la possibilité même d’un enseignement des langues autochtones dans les établissements scolaires, et, plus généralement, sur les droits humains et les libertés fondamentales, ce qui soulève de vives inquiétudes. [Lire l’article]

7 juin 2024, réponse des listes candidates aux élections européennes à la question de Mediabask sur « l’officialisation des langues territoriales dans l’UE ». Renaissance apporte une réponse de nature conflictuelle en soumetant une éventuelle amélioration de la promotion et du nombre de locuteurs des langues autochtones à condition. [Lire l’article]

6 juin 2024, réponse des candidats aux élections européennes au collectif Pour que vivent nos langues. Seuls trois des candidats ou candidates ont répondu au courrier du 30 mai 2024 dans lequel le collectif les interrogeait sur leurs propositions en faveur des langues autochtones. [Lire les réponses]

3 juin 2024

1er juin 2024

Mai 2024, sondage Eurobaromètre « les Européens et leurs langues ». Pour 84 % des Européens les langues régionales et minoritaires devraient être protégées, mais la France reste à la traine en la matière, l’enseignement immersif ayant même été rendu inconstitutionnel en 2021. [Lire l’article de l’Eurobaromètre]

31 mai 2024, édito de RTL contre l’enseignement immersif. Dans l’édito de RTL du 31 mai 2014, une journaliste de la chaine, s’appuyant sur quelques préjugés et relayant ainsi le nationalisme linguistique d’État, prend position contre l’enseignement immersif. [Lire l’article]

30 mai 2024, lettre du collectif Pour que vivent nos langues aux candidats aux élections européennes. Le collectif interroge les candidates et candidats sur leurs engagements pour la reconnaissance des droits des locutrices et locuteurs des langues autochtones en France, et sur les actions qu’ils êtes prêts à mettre en œuvre au sein du Parlement européen afin que la législation française se mette en conformité avec le droit européen et les droits humains fondamentaux définis par les déclarations et conventions des Nations unies et du Conseil de l’Europe. [Lire l’article]

29 mai 2024, notification de rejet d’une requête en changement de nom de Le Floch en ar Floc’h. Dans sa réponse, le ministère de la Justice considère que « le seul désir de retrouver la typographie d’un nom de famille issue d’une langue régionale, ne constitue pas l’intérêt légitime requis par la loi. » [Voir la lettre sur Facebook]

23 mai 2024, casserolade devant l’inspection académique de Pau. Les manifestants dénoncent les refus d’ouvertures de classes et d’écoles bilingues par le directeur académique des services de l’Éducation nationale, alors que la demande sociale est manifeste, et demandent le respect de la convention, qui prévoit notamment l’ouverture d’au moins une école bilingue par an et par département. [Voir la vidéo sur Youtube]

18 mai 2024, remise d’une nouvelle convocation en justice à Gorka Torre. En réaction au manque de signalétique en basque, les inscriptions dans cette langue se sont multipliées, l’une d’elle ayant donné lieu à de nouvelles poursuites judiciaires à l’encontre d’un militant y particpant, Gorka Torre. [Lire l’article]

16 mai 2024, assemblée générale de la Fédération Alsace bilingue. La fédération s’alarme de la situation de l’enseignement de la langue autochtone d’Alsace (allemand standard et dialectes alsaciens), qui est en danger : aucune ouverture de site bilingue dans l’enseignement primaire depuis trois ans, report de l’enseignement bilingue de la petite section de maternelle à la moyenne section, fermeture de classes bilingues, réduction des heures en allemand des disciplines non linguistique en collège et lycée, non-remplacement des enseignants absents… [Lire l’article des Dernières nouvelle d’Alsace]

[Voir toutes les brèves précédentes.]

Zoom sur…

Paroles d’artistes, reportages et films

D’où qu’ils soient, des médias se sont penchés sur la question des langues autochtones et des artistes ont pris position en leur faveur. Il s’agit là d’un combat permanent pour la dignité humaine, y compris en France, où les droits humains fondamentaux liés aux langues sont toujours ignorés.

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Étonnant, non ?

Lettre à la présidence de la République d’Irlande

Le jeudi 26 août 2021, vous avez parlé au président français, Emmanuel Macron, et vous lui avez dit combien était importante la langue bretonne pour la culture française. En tant que citoyen français de Bretagne et locuteur de breton, je voudrais tout d’abord vous féliciter et vous remercier pour avoir pris position en faveur de notre langue et de notre cause. Vos mots sont importants pour nous…

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Vos impressions…

Livre d’or

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