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Le réseau d’enseignement associatif Diwan, qui propose un enseignement gratuit et laïc à plus de 4000 élèves en Bretagne sous la forme d’un enseignement immersif en langue bretonne, est réseau majeur en Bretagne, dispensant un enseignement de qualité, avec d’excellents résultats aux examens, et jouant un rôle important dans la transmission du breton, mais il se trouve aujourd’hui menacé à brève échéance.
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Appel au sens des responsabilités des élus et des membres de la commission, afin que soient conservés les noms de lieux en breton dans leur langue d’origine en tant que noms principaux, aussi bien dans les registres et bases de données officielles, nationales et locales, que dans l’affichage, conformément aux droits promus par l’Unesco, aux recommandations régionales, européennes et internationales et à l’ensemble des principes contenus dans les documents de référence en matière de toponymie.
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Euskal Konfederazioa s’étonne que, dans un pays prônant l’égalité, et malgré les avancées constitionnelles et législatives en faveur des langues autochtones, la possibilité d’utiliser l’euskara, contrairement à ce qui se pratiquait auparavant, ne soit plus octroyée à un bascophone dans un tribunal au Pays Basque, alors qu’un prévenu francophone peut toujours, quant à lui, se défendre en langue française. Le collectif appelle à manifester le 10 septempbre 2024 devant le tribunal de Bayonne pour soutenir Gorka Torre, qui a récemment écrit aux juges du tribunal de Bayonne pour demander à pouvoir se défendre en euskara.
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Dans son courrier, Gorka Roca Torre fait part aux juges de Baiona (Bayonne) de son intention de se défendre en basque lors de sa prochaine audience, le 10 septembre 2024, dans le cadre de sa deuxième affaire en cours, suite à des inscriptions en langue basque, et il y explique sa décision.
Quatre experts de l’Onu dénoncent les méthodes répressives de la France utilisées en Nouvelle-Calédonie, ainsi que les initiatives prises par la France en vue de mettre fin à des « acquis majeurs de l’accord de Nouméa concernant la reconnaissance de l’identité et des institutions autochtones kanak, du droit coutumier et des droits fonciers coutumiers », ce qui « porte atteinte à l’intégrité de l’ensemble du processus de décolonisation ».
Mise en place par les Nations unies en 1994, la journée internationale des peuples autochtones a lieu le 9 août de chaque année. Elle vise notamment à sensibiliser le public sur les besoins des communautés concernées. Pour ce faire, c’est Tayuwalan qu’il a ici été choisi de mettre à l’honneur. Le peuple kaliʼna, dont il était, est présent en Guyane française, mais aussi au Venezuela, au Suriname, au Guyana et au Brésil…
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L’Associació per a l’ensenyament del català (Association pour l’enseignement du catalan) a tenu, le 5 juillet 2024, sa 41e assemblée générale. L’association a alors fait le point sur l’enseignement du catalan, caractérisé à la fois par une progression du nombre d’élèves qui en bénéficient et par un accroissement critique des manques observés dans une optique de pérennisation de la langue…
Dans la documentation, il peut être relevé plusieurs attestations d’un critère défini par l’Unesco pour statuer qu’une langue est en danger. Mais, si elles semblent bien s’accorder sur le chiffre, elles ne s’accordent pas toujours sur les termes. Un petit point sur la question peut aider à mieux appréhender le problème…
Lors de la dernière semaine de classe avant les vacances, des parents d’élèves ont appris que le rectorat avait décidé de suspendre la filière bilingue français-breton du collège Jacques Prévert à Guingamp, ce qui constitue une nouvelle illustration de la lutte que mène la France contre le bilinguisme français-breton. Mobilisés devant l’établissement le 17 juillet 2024, ils ont alerté la presse sur la situation, notamment par le biais de la déclaration commune qui suit…
La dissolution de l’Assemblée nationale, annoncée le 9 juin 2024 par Emmanuel Macron, était particulièrement inattendue. Elle a pris de court les différents partis, qui essaient tant bien que mal de s’organiser dans l’urgence, avec, en toile de fond, une extrême droite qui ne cesse de gagner du terrain. Bien qu’elle apparaisse pour beaucoup comme une erreur politique, elle ne doit rien au hasard, mais elle fait surtout planer un grand danger sur les langues autochtones et, plus généralement, sur les droits et libertés…
En appelant à une modification constitutionnelle, la fédération d’associations Div Yezh Breizh agit pour le devenir des langues autochtones et, à travers elles, du patrimoine culturel. La révision de l’article 2 de la Constitution est indispensable pour une réelle amélioration des conditions d’apprentissage et de pratique du breton, ainsi que pour le droit de vivre en breton.
Ne parvenant pas à faire enregistrer en France le prénom de leur fille Lilòia correctement orthographié, alors qu’il a pu l’être en Belgique, des parents espèrent un assouplissement de l’État sur la question.
Dans l’édito de RTL du 31 mai 2014, une journaliste de la chaine, avec quelques préjugés idéologiquement marqués pour arguments, prend position contre l’enseignement immersif.