Justice pour nos langues !

Un malaise accentué après la sortie du catalogue
de l’exposition « Celtique ? » du Musée de Bretagne

Vendredi 14 octobre 2022, au cours d’une conférence de presse prévue à partir de 10 heures au Café des Champs Libres, le Musée de Bretagne a présenté le catalogue de l’exposition « Celtique ? » qu’il vient de publier. Des précisions ont ainsi été données sur son contenu, qui reste dans la ligne de l’exposition. Le musée, bien décidé à mener cette exposition à terme, se montre ainsi inflexible, malgré les problèmes que pose cette dernière.

Sur la couverture du catalogue, intitulé « Celtique ? – La Bretagne et son héritage celtique », le point d’interrogation, aux formes carrées, peut, à première vue, être assimilé à un décor abstrait et passer inaperçu. Mais il est bien là, tout comme l’indéfectible finalité de l’exposition, qui semble toujours essentiellement consister à décrédibiliser l’identité celtique.

Avant même d’être présenté, le catalogue était déjà critiqué. Alan Stivell a, en effet, rédigé, dix jours avant la conférence de presse, un message où il considère que « l’esprit scientifique n’est pas là », excepté pour « deux ou trois contributions », car, selon le chanteur, ce catalogue contient des « affirmations […] de principe, non démontrées », ainsi que « des fakes et des propos idéologiques », ce qui en fait « un travail de prestidigitation […] pour arriver à une conclusion contraire » à « la réalité celtique »1.

Préalablement à sa parution, il avait été question d’« un catalogue qui fasse référence », selon les termes de Corinne Poulain, la directrice des Champs Libres2. À présent qu’il est sorti, à la question « va-t-il mettre tout le monde d’accord ? », Manon Six, commissaire de l’exposition, répond sans s’illusionner ni essayer de faire croire au miracle : « Je ne pense pas »3. Au contraire, tout à son optimisme, le Télégramme considère que les modifications apportées au catalogue de l’exposition « devraient apaiser le débat jusqu’à la fin de l’exposition prévue le 4 décembre prochain »4. En réalité, aucun apaisement ne sera à attendre tant que le contenu de l’exposition ira à l’encontre des connaissances scientifiques et, par conséquent, de l’une des missions du musée.

Dans le même ordre d’idées, Le Télégramme estime que ce catalogue « devrait permettre de prolonger le débat »4. Cependant, pour que le débat se poursuive, il faudrait encore qu’il ait été entamé, ce qui n’est toujours pas le cas. Ce terme est donc pour le moins inapproprié, d’autant plus que, si un débat, devant se dérouler par le biais d’une table ronde, a bien été annoncé, aucune date n’a jamais été avancée2. Et, malgré qu’il ait été demandé depuis par le Celtic-BLM5, centre de recherche de l’Université Rennes 2, il n’a jamais eu lieu. Cela n’empêche pas Manon Six de déclarer : « Le débat est naturel, il faut qu’il existe. »3 Et la directrice du musée, Céline Chanas, éludant ainsi largement les critiques formulées, n’est pas en reste : « Pour Celtique ?, nous espérons que le dialogue se poursuive. Notre porte reste ouverte. »3

Pourtant, il semblerait que la perspective d’un débat qui ne tourne pas à l’avantage de l’exposition ait finalement poussé le musée à en rejeter la tenue. Les défenseurs de cette exposition n’auront donc pas à confronter le nationalisme d’État dont il se sont fait les avocats aux arguments scientifiques qui ont été développés5. Le musée et les membres du conseil scientifique de l’exposition étant visiblement encombrés d’un ensemble de présupposés de cette nature, ils semblent, de cette manière, confirmer le fait qu’il ait été prématuré pour eux de se lancer sur le sujet de l’identité celtique, qu’ils ne paraissent pas prêts à traiter avec l’objectivité et la hauteur de vue requises.

Ce qui serait reproché à l’exposition, toujours selon Le Télégramme, est qu’elle « ne respecte pas la parité des points de vue en penchant dans le camp d’une identité celtique en bonne partie fantasmée »4. Cependant, la défense d’un équilibre dans la présentation de l’identité celtique comme un mythe ou comme une réalité, exprimée par Alan Stivell6, ne correspond absolument pas à une position générale, car, pour bien d’autres, le problème ne réside pas là. Ce qui a été bien plus largement dénoncé, c’est, avant tout, l’important décalage entre les messages véhiculés par le musée et l’état actuel des connaissances, que Céline Chanas ne reconnait qu’à demi-mots : « Peut-être qu’un public aux connaissances plus poussées ne s’y est pas retrouvé »3.

Pour s’en convaincre, les critiques argumentées et sourcées, venant, pour certaines, du milieu scientifique, ne manquent pas7. Mais malgré leur nombre, et la précision de certaines d’entre elles, aucun des points soulevés n’a obtenu de réponse appropriée, et bien rares sont celles qui ont été prises en compte. Si des réactions ont, néanmoins, été publiées, aucun des points problématiques n’a été abordé, si ce n’est à la marge. Elles se sont surtout cantonnées à des procès d’intention et à du dénigrement : les critiques ont été attribuées à un « côté affectif »8, à « un regard militant »2, à des « passions identitaires »9, à des personnes faisant prévaloir « un simple slogan » sur la complexité de la réalité historique9.

Il en ressort que les personnes ayant critiqué l’exposition ont largement traité du fond, tandis que les défenseurs de l’exposition ont répondu par des attaques personnelles basées sur de simples suppositions. Les uns et les autres ne traitant pas du même sujet, cela ne saurait constituer un débat. L’inadéquation des réponses avec les problèmes soulevés avait d’ailleurs déjà été relevé par Ouest-France en août 2022 : « la direction du musée met en avant des arguments qui parlent d’affectif et de sensibilité là où ses opposants parlent du fond »10. Pourtant, les défenseurs de l’exposition considèrent, comme l’indique Le Télégramme, que « le musée a simplement correctement fait son travail de vulgarisation en se basant sur des faits scientifiques et archéologiques »4. Mais, avec un tel jugement, ils ont tout simplement balayé les critiques sans y répondre.

Aussi, que 28 historiens et chercheurs de l’Université Rennes 2 aient entrepris de défendre l’exposition en rédigeant un texte dénigrant indistinctement toutes les personnes ayant émis des critiques, et sans se donner la peine de les examiner, et encore moins d’y apporter des réponses appropriées9, est une attitude pour le moins surprenante pour des scientifiques, et assez inquiétante. Et que la Fédération des écomusées et des musées de société défende également l’exposition en citant un texte de cette teneur11 n’est guère plus rassurant.

Il est même assez malsain qu’une rectification d’erreurs concernant le traitement des identités infra-étatique par un musée de France ne puisse être demandée sous peine de dénigrement. Sur le sujet, demander une approche scientifique, et qui ne soit pas, par conséquent, idéologiquement orientée, parait même être, pour certains, à la fois révolutionnaire et sacrilège tant le nationalisme d’État est intégré et semble devoir s’imposer à tout territoire et à toute population dès lors que ces derniers sont régis par cet État. À tel point que certains ont cru déceler chez Ronan Le Coadic, sociologue, professeur d’université et spécialiste des minorités, « l’extrême gauche anti-française », en considérant, sans doute, que cela constituait un motif suffisant pour reproduire un de ses articles en le dénigrant dans le titre qu’ils ont substitué à l’original12.

Pourtant, il n’y a pas besoin de recherches approfondies, d’une part, pour savoir que le mot « Celte » est une évolution du latin et non un emprunt au grec, et, d’autre part, pour trouver la citation de Jules César qui attribue l’origine de ce mot aux Celtes, puisqu’il suffit pour cela de consulter le Trésor de la langue française informatisé, qui est la version numérisée, disponible en ligne, du très sérieux dictionnaire du CNRS, pour en avoir la confirmation13. Et il n’est guère plus difficile de consulter l’article de Gwennole Le Menn sur les premiers témoignages concernant le gouren, en ligne lui aussi, pour constater que l’hypothèse de l’origine brittonique de ce sport a un fondement scientifique, quand elle est donnée comme probable en première page14. Une attitude consistant à considérer que les origines celtiques brittoniques doivent, par principe, être niées ou mises en doute n’a rien de scientifique.

Les documents sur lesquels se basent les critiques qui ne se trouveraient pas en ligne ne présentent pas de difficulté d’accessibilité particulière pour les professionnels du Musée de Bretagne et les historiens et chercheurs de l’Université Rennes 2, puisque Rennes dispose d’un bon nombre de bibliothèques, dont certaines sont très fournies15. Ils n’ont ainsi pas trop loin à aller pour se rendre à la Bibliothèque de Rennes Métropole, située aux Champs Libres16, ou à la bibliothèque universitaire de l’Université Rennes 2 adéquate17. Les informations sont donc à leur portée. Tout ce qui peut faire défaut, c’est la volonté d’aller chercher ces informations et, plus encore, de les mettre à profit. En cela, le musée va à l’encontre de ses missions et des objectifs affichés pour cette exposition.

Une autre illustration réside dans le fait que, sous prétexte de lutte contre les clichés, l’exposition diffuse des contre-vérités, et tend ainsi à créer de nouvelles fausses croyances. Elle indique, en effet : « Les données archéologiques actuelles s’opposent aux représentations traditionnelles du “Celte” : une population ni irréductible ni isolée mais intégrée dans de nombreux échanges, des paysages façonnés par l'agriculture et l’élevage, des maisons rectangulaires (et non rondes…). Et aucun triskell ni mégalithe ! »18 Or, si les habitats, monuments cultuels et monuments funéraires circulaires étaient plutôt rares à l’Âge du Fer, ils existent pourtant bien, y compris en Armorique19. Un tel habitat a, par exemple, été mis à jour à Pluvigner, et des constructions circulaires se trouvent également à Hennebont et à Quimper. Quant au triskell, s’il était déjà présent au Néolithique, et date donc d’une époque pré-celtique, les Celtes en ont bien fait un important usage dans le domaine artistique à l’époque de la Tène20.

Et lorsque cela permet de jeter l’opprobre sur l’identité celtique, le musée n’hésite pas à conforter les amalgames. Dans l’exposition, cette identité est ainsi associée à la collaboration et au nazisme pour ce qui est de la période de l’entre-deux guerres, passant sous silence que des résistants ont également utilisé des symboles celtiques, et que ces derniers se retrouvent, pour certains d’entre eux, jusque sur leur tombe21.

Le panneau sur La Villemarqué, laissant à penser que l’ensemble des chants populaires que ce dernier a présentés dans le Barzaz Breiz pourraient être l’œuvre d’un faussaire, ne laisse aucun doute sur le caractère volontaire de la manipulation. Le musée ne pouvait, en effet, ignorer l’existence des manuscrits de collecte à partir desquels a été rédigé le Barzaz Breiz, étant donné que ces panneaux ont été révisés à l’initiative de Nelly Blanchard22, membre du conseil scientifique de l’exposition23, qui avait parfaitement connaissance de ces manuscrits, ayant elle-même participé à leur transcription avec Donatien Laurent après leur découverte par ce dernier24. La motivation du procédé apparait ici être politique, puisqu’aucune raison autre que le rôle important que La Villemarqué a joué dans le développement du nationalisme ne peut être décelée pour expliquer le discrédit jeté sur cet auteur.

Au besoin, le musée va même jusqu’à laisser transparaitre assez nettement son idéologie : « Alors face à cette récupération mercantile de l’héritage celte, lui-même issu d’un processus de construction identitaire, est-il encore possible aujourd’hui de se reconnaitre dans une identité celtique ? »25 Le propos vise alors à discréditer l’identité celtique par une triple erreur : en laissant entendre que l’héritage celte ne serait qu’une construction, que le caractère construit d’une identité la rendrait nécessairement illégitime et que l’identité celtique devrait être abandonnée au motif que l’utilisation commerciale des symboles celtiques la priverait de son authenticité. Cette identité serait donc condamnable, non seulement par nature, mais aussi du fait même de son succès.

En outre, assez étrangement, les échanges et influences entre peuples celtes, qui ne font l’objet d’aucun jugement particulier pour l’Antiquité et le haut Moyen Âge, décrédibilisent l’identité celtique dès lors qu’ils ont cours après le début du 19e siècle. Encore une fois, seul l’existence d’un nationalisme à cette période permet d’expliquer la dévalorisation des faits culturels de cette période.

Pour couper court aux critiques de l’exposition, Manon Six déclare : « On n’avait pas la place de tout dire dans l’exposition »4. Mais cette défense est insuffisante pour nombre de raisons. Premièrement, les erreurs et manquements figurent aussi bien sur des panneaux sur lesquels il reste de l’espace disponible que sur des supports informatiques où la question de l’espace ne se pose pas. Deuxièmement, des propos conformes aux apports de la science ne sont pas nécessairement plus longs que les textes qui ont dénoncés. Troisièmement, le choix des support dépend généralement des informations à diffuser, et ce n’est donc pas nécessairement aux textes de s’adapter aux supports. Quatrièmement, lorsque la question de la place limitée se pose effectivement, l’enjeu consiste alors dans la sélection des informations retenues afin de présenter un texte convenable. Cinquièmement, le Musée de Bretagne est contraint par la loi au respect des apports de la science, puisqu’en tant que musée de France, il se doit de « contribuer aux progrès de la connaissance et de la recherche ainsi qu’à leur diffusion », ainsi que l’énonce l’article L441-2 du Code du patrimoine26.

Dans cette exposition, le musée adopte une posture anti-nationaliste infra-étatique, dont le corollaire est la diffusion d’une certaine vision nationaliste française, en remettant en question tout ce qui pourrait mettre à mal le roman national français. Et cela constitue clairement une intrumentalisation politique de la science. L’histoire en a pourtant indiqué les dangers, puisque l’expérience nazie n’en a, pour mémoire, pas laissé de très bons souvenirs.

Cependant, il serait malvenu de pousser le parallèle trop loin, le propos n’étant pas ici de faire des raccourcis et des amalgames douteux, qui auraient, par ailleurs, le mauvais gout de rappeler par trop les procédés de l’exposition « Celtique ? » qui ont été dénoncés. Ce serait, en effet, une erreur de croire que le nazisme serait l’unique issue de l’instrumentalisation de la science à des fins politiques, tout autant qu’il serait fautif de considérer qu’il serait la conséquence inéluctable de l’affirmation d’une identité. Mais cela ne saurait constituer une justification.

Sur le terrain, la situation est devenue assez paradoxale. D’un côté se tient une exposition ayant un caractère nettement politique, et de l’autre, personne dans le milieu politique ne prend d’initiative pour que l’exposition soit recadrée dans le domaine scientifique. Les élus n’ont tenté d’agir d’aucune manière ni pour que soit organisé le débat scientifique qui aurait dû s’imposer pour les raisons exposées par le Celtic-BLM5, ni pour que soit mis fin à l’exposition, ni pour que le musée cesse de recevoir des subventions publiques, ni pour que le droit soit respecté. Face aux interpellations, c’est surtout le silence politique qui prédomine. Et pour ce qui est des historiens et chercheurs de Rennes 2 évoqués, ils ne prennent curieusement pas la peine de s’appliquer à eux-mêmes l’appel à « retrouver la raison » qu’ils ont lancé, ni leur propre précepte antinationaliste : « L’histoire n’est pas un drapeau. »9

Enfin, toute cette affaire peut amener à formuler une question dont la pertinence est fort regrettable : dans les conditions actuelles, en France, en cette première moitié du 21e siècle, qu’est-ce qui peut empêcher un musée culturel de devenir un instrument de propagande ? La réponse, malheureusement, ne présage rien qui vaille : en réalité, pas grand chose, si ce n’est, hypothétiquement, la pression populaire. Tous les ingrédients de la propagande sont d’ailleurs déjà présents et perceptibles : le trucage de l’information motivé par une idéologie politique, la caution de nombre de scientifiques, le dénigrement des voix apportant la contradiction, la complaisance des journalistes, les soutiens politiques et institutionnels et le laisser-faire du restant de la classe politique.

Notes :

  1. « Exposition « Celtique ? » Musée de « Bretagne » : la cata-logue ! », par Alan Stivell, Facebook, 4 octobre 2022, 11 h 23.
  2. « Controverse autour de l’exposition « Celtique ? » à Rennes : le Musée de Bretagne propose un débat », par Agnès Le Morvan, Ouest-France, 2 septembre 2022, 18 h 24.
  3. « Rennes. « Celtique ? » : après l’exposition polémique, le livre », par Pascal Simon, Ouest-France, 16 octobre 2022, 16 h 21, modifié à 17 h 08.
  4. « Exposition Celtique au Musée de Bretagne : un livre pour clore la polémique ? », Le Télégramme, 14 octobre 2022, 15 h 34.
  5. « Des universitaires réagissent : « pour une critique scientifique de l’exposition Celtique ? du musée de Bretagne à Rennes » », Penn-Bazh, 7 octobre 2022.
  6. « Musée de Bretagne à Rennes, exposition « Celtique ? ». Je retire mon parrainage », par Alan Stivell, Facebook, 20 mai 2022, 11 h 35.
  7. « Le scandale de l’exposition « Celtique ? » du Musée de Bretagne », par Yann-Vadezour ar Rouz, Justice pour nos langues !, 6 septembre 2022, modifié le 24 octobre 2022.
  8. « Le Musée de Bretagne révise son exposition « Celtique ? » », par Serge Poirot, Ouest-France, 16 août 2022, 14 h 36.
  9. « L’histoire n’est pas un drapeau – A propos de la polémique autour de l’exposition « Celtique ? » », Florian Mazel, Christophe Badel, Marc Bergère, et autres, Bécédia, octobre 2022.
  10. « Polémique au Musée de Bretagne : le chercheur ne cautionne pas le catalogue de l’exposition », par Christian Gouerou, Ouest-France, 17 août 2022, 16 h 34.
  11. « Soutien de la Fems – Exposition « Celtique ? » », Fédération des écomusées et des musées de société, 11 octobre 2022.
  12. « L’Exposition « Celtique ? » met l’extrême gauche anti-française dans tous ses états », par Mauricette, Dreuz.info 13 octobre 2022.
  13. « Étymologie de « celte » » à l’entrée « celte », dans « Le Trésor de la Langue Française informatisé », Centre national de ressources textuels et lexicales.
  14. Le Menn, Gwennole : 1994. « Ar gouren (la lutte bretonne) / Les premiers témoignages (XIVe – XVIIe siècles) », Mémoires de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Bretagne, Tome LXXI, Rennes, 1994, p. 61-85. P. 61.
  15. Bibliothèques de Rennes.
  16. Bibliothèque des Champs Libres.
  17. Bibliothèques de l’Université Rennes 2.
  18. « 1. Une Armorique celtique », Celtique ? L’expo.
  19. Dechezleprêtre, Thierry ; Ginoux, Nathalie : 2002. « Les constructions circulaires de la moitié nord de la France : état de la question », dans : Architectures protohistoriques en Europe occidentale du Néolithique final à l'âge du Fer : Actes du 127e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Le travail et les hommes », Nancy, 2002. Paris : Editions du CTHS, 2005. (Actes du Congrès national des sociétés savantes, no 127.) P. 77-87.
  20. Kruta, Venceslas : 2020. L’imagerie des anciens Celtes. Fouesnant : Yoran embanner.
  21. « Celtique ? », par Jean-Michel Le Boulanger, Facebook, 27 septembre 2022, 12 h 14.
  22. « Questions autour de l’exposition « Celtique ? » et du Musée de Bretagne », par Yann-Vadezour ar Rouz, Justice pour nos langues !, 23 septembre 2022, modifié le 30 septembre 2022.
  23. Page d’accueil du site Celtique ? L’expo.
  24. « #13 La découverte des carnets de collecte du Barzaz Breiz le 14 septembre 1964 », épisode de la série : L’Almanac’h – Les grandes dates de l’histoire de Bretagne en Podcast. (Bécédia.)
  25. Celtique – Dossier pédagogique, 1er et 2nd degré, par Céline Morvan, Musée de Bretagne – Les Champs Libres. P. 18.
  26. Article L441-2 du Code du patrimoine, Légifrance.